Ingérences étrangères, des élus pris pour cibles
Sénat en action
Loin devant le cancer du sein, les maladies cardiovasculaires représentent aujourd'hui la première cause de mortalité des femmes. Un fléau qui s'explique par la sédentarité, le stress, l'alcool et le tabagisme notamment. Mais ce n'est pas la seule explication. Le risque cardiovasculaire chez la femme a été longtemps sous-évalué par le corps médica... l. Ce qui mène à des retards de diagnostic et à une mauvaise prise en charge. Peu écoutées, mal diagnostiquées, sous dépistées... Les femmes seraient-elles victimes de stéréotypes dans le domaine de la santé ? C'est l'une des questions qui préoccupe la Délégation aux droits des femmes du Sénat. Endométriose, autisme, pathologies cardiovasculaires, les femmes subissent une perte de chance à l'origine d'inégalités dans le domaine de la santé. Sabrina a été victime d'un infarctus du myocarde à 40 ans. Marina a attendu des années avant de réussir à poser un diagnostic sur son endométriose. A travers ce reportage, nous tentons de comprendre pourquoi en matière de santé femmes et hommes ne sont pas encore égaux. En médecine au fil des siècles, le modèle pour penser le corps humain a été largement masculin. Pendant longtemps, la recherche biomédicale et les essais cliniques ont été mis en oeuvre sur des corps d'hommes. La physiologie masculine étant considérée comme moins complexe, car moins perturbée par des variations hormonales. Si dans de nombreux pays, comme les Etats-Unis, le Canada ou la Suède, les questions de genre dans le domaine de la santé figurent déjà dans la formation des soignants, ce n'est pas encore le cas en France.
Ingérences étrangères, des élus pris pour cibles
Sénat en action
Forêts françaises, le défi climatique
Sénat en action
Pas-de-Calais : construire l'après inondations
Sénat en action
Sénat en action
Questions au Gouvernement
L'intégrale du 20 novembre
L'intégrale du 20 novembre