Politique (207)

Paris: Arrival of French Ministers For The Weekly Cabinet Meeting
5min

Politique

Déclaration de politique générale : « L’enjeu pour Gabriel Attal, c’est de ne pas recopier le discours du président »

Une semaine après la nomination au poste de Premier ministre de Gabriel Attal et alors que le nouveau locataire de l’hôtel de Matignon devrait tenir dans les jours à venir sa déclaration de politique générale, c’est ce mardi 16 janvier que le président Emmanuel Macron a décidé d’organiser une conférence de presse. Et ce avant même que son nouveau Premier ministre ne fasse son discours de politique générale. 

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Gabriel Attal accompagne de Amelie Oudea-Castera au college Saint-Exupery d’Andresy
6min

Politique

Polémique Oudéa-Castéra : une proposition de loi s’attaque au financement public des écoles privées

La mixité sociale à l’école est au cœur de la polémique suscitée par les propos de la nouvelle ministre de l’Education nationale Amélie Oudéa-Castéra pour justifier la scolarisation de ses enfants dans le privé. Une proposition de loi sénatoriale du sénateur communiste Pierre Ouzoulias vise à demander aux établissements privés d’assurer un minimum de mixité sociale contre l’octroi de subventions publiques.

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Européennes 2024 : Mélenchon « fait campagne contre la gauche », déplore le sénateur PS Rémi Féraud
4min

Politique

Sébastien Chenu juge « contraire à la pratique républicaine » la conférence de presse d’Emmanuel Macron, avant le discours de politique générale de Gabriel Attal

Invité de « Bonjour chez vous » sur Public Sénat ce lundi 15 janvier, Sébastien Chenu, le vice-président du Rassemblement National dit ne « rien » attendre de la conférence de presse d’Emmanuel Macron programmée mardi soir. Il souhaite aussi que le Premier ministre Gabriel Attal se soumette à un vote de confiance après son discours de politique générale.

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Eric Ciotti – Reunion du Conseil Strategique a Nice
4min

Politique

Gouvernement Attal : la nomination surprise de Rachida Dati au ministère de la Culture

L’arrivée de Rachida Dati, ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy (2007-2009), au très convoité ministère de la Culture est la principale surprise de ce remaniement. Les Républicains, menacés de disparitions après une longue série d’échecs électoraux, perdent du même coup l’une de leurs principales figures.

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Questions to the Government, National Assembly, Paris, France – 12 Dec 2023
4min

Politique

Gabriel Attal face à la loi immigration, « il va entrer immédiatement dans le dur »

Absent du débat sur la loi immigration qui a divisé le camp présidentiel, le nouveau Premier ministre Gabriel Attal va désormais devoir porter ce projet de loi extrêmement clivant. Un chantier qui va « l’obliger à sortir de l’indistinction » politique, selon Floran Vadillo, président du think tank L’Hétairie et enseignant à Sciences Po.

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Européennes 2024 : Mélenchon « fait campagne contre la gauche », déplore le sénateur PS Rémi Féraud
3min

Politique

Recours au Conseil constitutionnel contre la loi immigration : « Quand une loi est scélérate, il faut la combattre »

Yan Chantrel, sénateur des Français établis hors de France, était ce 22 décembre l’invité de Parlement Hebdo. Il a été longuement interrogé sur la loi immigration, définitivement adoptée au Parlement ce 20 décembre. Fermement opposé au texte très dur issu des discussions de la commission mixte paritaire, il annonce qu’un recours devant le Conseil constitutionnel sera déposé avec les parlementaires de gauche. Selon Yan Chantrel, un certain nombre de mesures de la loi portée par Gérald Darmanin seraient contraires à la Constitution : « Il y a la restriction du droit du sol qui est un cavalier législatif, la différenciation pour l’accès aux aides sociales qui est une rupture d’égalité devant la loi, la caution pour les étudiants étrangers… ». « Le président ne devrait pas promulguer une loi qui n’est pas constitutionnelle » Autant de points de discorde qui poussent le sénateur à demander à Emmanuel Macron de ne pas promulguer ce texte : « Le président de la République ne devrait pas promulguer une loi qui n’est pas constitutionnelle, alors qu’il est le garant du respect de la Constitution ». Parmi les mesures jugées non constitutionnelles par le sénateur, on retrouve notamment la déchéance de nationalité pour les Français binationaux condamnés pour meurtre d’un policier. Une dangereuse rupture de l’égalité devant le droit, selon Yan Chantrel : « À partir du moment où vous différenciez deux types de ressortissants dans le droit français, vous faites une distinction au sein même de la communauté nationale ». Si cette mesure entrait dans la loi, elle risquerait ainsi d’ouvrir « une brèche », « cela pourra être utilisé plus tard pour des délits de droit commun, il est là le danger », alerte le sénateur. « La désobéissance civile fait aussi partie de l’Etat de droit » Sans attendre l’avis des Sages sur la loi immigration, 32 départements dirigés par la gauche ont annoncé leur refus d’appliquer les nouvelles conditions de versement de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). La Seine-Saint-Denis, la ville de Paris, ou encore le Lot, indiquent qu’ils continueront à verser cette allocation destinée aux personnes en perte d’autonomie de 60 ans et plus, alors que la loi immigration fixe désormais à un délai de carence pour les étrangers en situation régulière. « C’est tout à l’honneur de certains élus de dire non », salue Yan Chantrel, « quand une loi est scélérate il faut la combattre, la désobéissance civile fait aussi partie de l’Etat de droit ». Dans l’attente d’une décision du Conseil constitutionnel, qui pourrait censurer le conditionnement du versement des aides sociales, le président de l’association des départements de France a au contraire rappelé les présidents de département à l’ordre, affirmant que la loi immigration devra être « appliquée dans un strict respect des institutions républicaines ».

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Office Francais de l’Immigration et de l’Integration a Nice
7min

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Sondages : les Français veulent-ils vraiment un durcissement de la politique d’immigration ?

Au cours de l’examen du projet de loi immigration, l’argument principal de la majorité présidentielle, des LR et des RN tenait à cette phrase : « C’est ce que veulent les Français ». Ils ont ainsi affirmé que la population souhaitait un durcissement de la politique d’immigration. Mais est-ce vraiment un marqueur politique fort dans l’opinion publique française ou seulement un argument politique ?

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