Avec les législatives anticipées, et des programmes politiques parfois préparés dans l’urgence, certains partis n’ont pas encore clarifié leur position sur les questions de défense. Tour d’horizon de ce que proposent les uns et les autres, au regard notamment de ce qui avait été défendu pendant la présidentielle et les élections européennes.
À deux semaines du premier tour des élections législatives anticipées, Public Sénat dresse la liste des candidatures à suivre à gauche de l’échiquier politique, où les principaux partis politiques ont réussi à boucler un accord électoral et politique.
Depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, les demandes de procuration ont explosé, indique le ministère de l’Intérieur. Des chiffres en forte hausse, alors que la participation aux élections ne cesse de baisser.
Pouvoir d’achat, salaire, énergie, Gaza… Le « Nouveau Front populaire », qui rassemble les principaux partis de gauche, a dévoilé les mesures-clés de son programme commun de gouvernement en cas d’accession au pouvoir à l’issue des législatives anticipées.
Les négociations entre les différents partis de gauche pour une union en vue des élections législatives ont trouvé une issue ce jeudi 13 juin en fin de journée. Retour sur des tractations mouvementées.
A l’image du Premier ministre, Gabriel Attal, plusieurs membres et ex-membres de l’exécutif ont d’ores et déjà annoncé leur candidature pour les élections du 30 juin et du 7 juillet. Au total, ils sont 157 à avoir été investis par Renaissance. Qui sont-ils et où se présent-ils ?
Alors que les négociations autour d’un accord de gauche pour les législatives se poursuivent, les sénateurs socialistes estiment que le score réalisé par Raphaël Glucksman aux élections européennes doit placer le PS en première ligne par rapport à LFI. Auprès de Public Sénat, Olivier Faure, le Premier secrétaire du PS, assure que le principe d’un « rééquilibrage » dans l’attribution des circonscriptions a été acté par les autres formations.
Le président du groupe LR au Sénat s’est montré stupéfait de la décision d’Éric Ciotti de conclure un accord électoral avec le RN, dénonçant « des petits calculs personnels » et un « manque de droiture » de la part du président du parti. « Ce n’est pas ça la politique », a-t-il déclaré.
Opération clarification pour le président des Républicains. Alors que les rumeurs sont allées bon train dans la matinée, nos confrères du Figaro annonçant qu’un accord était envisagé entre Éric Ciotti et le RN, le député des Alpes-Maritimes a annoncé « une alliance avec le RN avec tous ceux qui se retrouvent dans des valeurs de droite » au journal télévisé de 13h sur TF1.