Auditionnés par la commission de la culture du Sénat, le PDG et le directeur de l’information de l’Agence France Presse se sont expliqués sur leur suivi du conflit entre Israël et le Hamas. Depuis la fin du mois d’octobre, l’agence est critiquée pour son refus de qualifier dans ses dépêches le Hamas d’organisation terroriste.
Invité de la matinale de Public Sénat ce 3 novembre, le professeur de stratégie et ancien directeur de l’École de guerre Vincent Desportes a livré son analyse sur le conflit entre Israël et le Hamas. Alors que Tsahal a annoncé avoir encerclé la ville de Gaza, pour le général la solution pour mettre fin à la guerre est politique.
Jeudi 26 octobre, à Bruxelles, les chefs d’État et de gouvernement ont établi une position commune sur le conflit entre Israël et le Hamas. Les 27 demandent « des couloirs et des pauses humanitaires » à Gaza. Un consensus qui peine à apparaître au sujet de la guerre en Ukraine.
Il y a une semaine, l’armée israélienne lançait un ultimatum à la population de la bande de Gaza : 24 heures pour évacuer vers le sud de l’enclave, avant une offensive terrestre de Tsahal. Ce 20 octobre, l’armée annonce une nouvelle fois que l’offensive est imminente, mais qu’en est-il réellement ?
Invité de la matinale de Public Sénat, le général Dominique Trinquand a livré son analyse du conflit entre Israël et le Hamas. Le général Trinquand fait de la solution politique et diplomatique la principale porte de sortie d’un conflit asymétrique où aucun participant ne peut obtenir de victoire totale.
Ce mercredi, le président américain Joe Biden se rend en Israël pour une visite de "solidarité" après l'attaque sanglante du Hamas. Au onzième jour de la guerre entre Israël et le Hamas, le roi Abdallah II de Jordanie a affirmé que toute la région du Moyen-Orient "est au bord du gouffre". Pour André Kaspi, historien et spécialiste des Etats-Unis, Joe Biden va fixer des lignes rouges à l’offensive israélienne.
La vague d’attaques du groupe islamiste devrait avoir une première conséquence géopolitique en freinant le rapprochement que Riyad et Tel Aviv ont tenté d’opérer ces derniers mois.
Depuis le 7 octobre, l'organisation qualifiée de terroriste par la plupart des pays occidentaux, mène une attaque d’ampleur contre Israël, qui a fait des centaines de victimes. Retour sur l’histoire du Hamas, dont les attaques ouvrent une nouvelle page dramatique dans le conflit israélo-palestinien.
Ce samedi, le Hamas a mené une attaque terroriste d’ampleur sur le territoire israélien, ciblant directement des villages, des habitations, ou encore un festival de musique techno. Plusieurs centaines de morts sont annoncés au sein de la population civile israélienne et palestinienne et une centaine d’otages pris par le Hamas. L’ampleur de cette opération, ainsi que les caractéristiques des populations capturées (femmes, enfants, personnes âgées), est inhabituelle. Cette stratégie du Hamas, qui vise à utiliser ces otages comme monnaie d’échange, place Israël dans une situation extrêmement difficile.
Interrogés par Public Sénat, plusieurs membres de la commission des affaires étrangères du Sénat réagissent à l’offensive lancée ce week-end par le Hamas dans le sud d’Israël. Ils pointent notamment le rôle joué par l’Iran, qui pourrait fracturer l’ensemble de la région.
Après l’attaque du Hamas en Israël et la guerre qu’elle a déclenché ce week-end, le ministre du Travail accuse une partie de l’extrême gauche, notamment le NPA, de complaisance avec les terroristes, et dénonce l’ambivalence de La France Insoumise.