Elections européennes : qui peut se présenter ?
Tandis que la campagne pour le scrutin du 9 juin est lancée, les partis politiques achèvent de constituer leurs listes. Qui peut candidater ?
Entre le 6 et le 9 juin 2024, les 450 millions d’habitants de l’Union européenne ont été appelés aux urnes pour élire leurs représentants au Parlement européen. Des résultats du scrutin français à l'annonce coup de tonnerre de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron, jusqu'aux résultats sur le plan européen, retrouvez ici tous nos articles sur ces élections majeures pour l'avenir de l'Union européenne.
Elections européennes : qui peut se présenter ?
Tandis que la campagne pour le scrutin du 9 juin est lancée, les partis politiques achèvent de constituer leurs listes. Qui peut candidater ?
[SERIE] Le Parlement européen raconté par ses eurodéputés. Pour mieux comprendre le travail à Bruxelles et Strasbourg, la parole à ceux qui font vivre l’institution : les eurodéputés. La macroniste Fabienne Keller souligne des « réussites magnifiques », comme « les décisions très rapides suite au confinement et à la crise covid ». L’eurodéputée Renaissance loue la « méthode qui consiste à bâtir des compromis, c’est d’une puissance… »
Sondages sur les européennes : Bardella caracole en tête, Glucksmann talonne Hayer
A un peu plus d’un mois des élections européennes, le dernier sondage réalisé par l’institut Harris-Interactive et Toluna pour M6, Challenges et RTL, confirme les tendances de ces dernières semaines. Loin devant, la liste du Rassemblement National (31%) écrase la concurrence, plus du double devant la majorité présidentielle (15%), qui voit son avance sur la liste socialiste (14%), fondre comme neige au soleil.
A bientôt un mois du scrutin des élections européennes, Marie Toussaint, tête de liste EELV détaille son programme et défend une autre vision de l’Union européenne, pionnière dans le développement des énergies renouvelables et dans la protection de l’environnement.
Européennes 2024 : quelles sont les principales mesures du programme de Valérie Hayer ?
Valérie Hayer présentait, ce lundi, 48 propositions de son programme pour que « l’Europe ne meure pas ». Parmi les mesures mises en évidence, un « Plan Europe 2030 », destiné à compléter le Pacte vert, un investissement 100 milliards pour le réarmement de l’UE, l’inscription du droit à l’IVG dans la Charte des droits fondamentaux ou encore une hausse des moyens de Frontex.
Invités de l’émission Extra Local, le communiste Léon Deffontaines et l’eurodéputée Place publique Aurore Lalucq ont tous deux dénoncé l’action menée contre Raphaël Glucksmann, en marge d’une manifestation du 1er mai à Saint-Etienne.
Après un tour de France de 1.300 kilomètres, le sénateur du Tarn Philippe Folliot et le maire divers droite de Neuilly-sur-Seine Jean-Christophe Fromantin ont renoncé vendredi à présenter leur liste « le Centre » aux élections européennes du 9 juin.
La tête de liste de Reconquête pour les européennes affirme que voter pour son parti constitue le véritable « vote utile » à droite, « parce que c’est là que se trouve la capacité à agir ». Un tacle à son rival d’extrême-droite, Jordan Bardella, qui a appelé ses électeurs à ne pas se disperser.
Européennes 2024 : après le 1er mai, la bataille pour l’hégémonie à gauche se durcit
Quelques mois après la fin de la Nupes, la prise à partie de Raphaël Gluckmann tête de liste socialiste-Place Publique lors d’un rassemblement du 1er mai à Saint-Etienne, relance le débat sur l’existence de « deux gauches irréconciliables ». Entre stratégie électorale et concurrence pour l’électorat de gauche, l’union semble plus lointaine que jamais.
Européennes 2024 : ce que dit la composition de la liste du Rassemblement national
Les noms des 34 premiers colistiers de Jordan Bordella ont été dévoilés ce 1er mai. Le RN opère un panachage entre eurodéputés sortants, cadres locaux et personnalités extérieures.
Après saisine des LR, l’Arcom, instance régulatrice de l'audiovisuel, a estimé que le discours prononcé par Emmanuel Macron le 25 avril à la Sorbonne devait être décompté du temps de parole de la majorité pour les élections européennes.
Dans une interview accordée au journal britannique The Economist, le chef de l’État réaffirme son discours d’« ambiguïté stratégique » vis-à-vis de la Russie. Le président de la République continue donc d’envisager une intervention de troupes françaises, « si les Russes devaient aller percer les lignes de front » et « s’il y avait une demande ukrainienne », faute de quoi « nous n’aurons plus de sécurité en Europe ».
Stéphane Guillon, fini de rire vraiment ?