CETA (20)

Le CETA, l’accord économique et commercial global conclu entre l’Union européenne et le Canada  en 2014, et partiellement appliqué depuis 2017  a été rejeté par le Sénat le 21 mars 2024. Avenir du traité, réactions politiques, décryptage...Retrouvez ici tous nos articles sur cet accord polémique.

Les gilets jaunes du nord isere interpellent cendra MOTIN deputee de la 6 circonscription de l Isere  en marche du comice agricole a saint chet pour dennonce l accord du gouvernement sur le CETA
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International

Accords de libre-échange : le devenir incertain du Ceta avec un gouvernement divisé sur la question

Appliqué de manière provisoire depuis 2017, le Ceta est sur la sellette en France, depuis que le Sénat l’a rejeté en mars dernier. Entre temps, les opposants à cet accord commercial de libre-échange entre l’UE et le Canada sont devenus majoritaires à l’Assemblée nationale. Par ailleurs, de nombreux ministres du gouvernement de Michel Barnier y sont également opposés.

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Accords de libre-échange : le devenir incertain du Ceta avec un gouvernement divisé sur la question
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Parlementaire

CETA : Patrick Kanner évoque « un risque de déni démocratique » si le texte n’est pas transmis à l’Assemblée

Le rejet du traité de libre-échange entre l’UE et le Canada par le Sénat ne signifie par l’arrêt du CETA. Le texte pourrait revenir à l’Assemblée nationale fin mai. Patrick Kanner, le président des sénateurs socialistes, demande à l’exécutif de laisser l’examen parlementaire aller à son terme, ce qui risque d’aboutir à un sérieux revers pour la majorité présidentielle.

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Rejet du CETA au Sénat : quels sont les scénarios pour la suite ?
7min

International

Rejet du CETA au Sénat : quels sont les scénarios pour la suite ?

Au-delà de la dimension politique évidente, le refus de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada par les sénateurs pose des questions sur l’avenir de l’accord. À ce stade, le vote du Sénat ne devrait pas signifier un coup d’arrêt dans l’application provisoire de cet accord.

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Aide à mourir : le Sénat va-t-il trouver une voie de passage sur le projet de loi ?
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Politique

CETA : récit d’une folle journée qui a vu le Sénat rejeter l’accord de libre-échange entre la France et le Canada

C’est par une alliance baroque de la gauche et d’une majorité des LR, que le Sénat a rejeté le CETA. Les défenseurs de l’accord dénoncent « un coup politique contre le gouvernement », réussi par les communistes, qui ont déposé le texte dans leur niche parlementaire, bien aidés par la droite. Bruno Retailleau, patron des sénateurs LR, se réjouit d’un « acte politique très fort » et d’un « message symbolique ». Car le rejet du traité par le Sénat ne signifie par l’arrêt de mort du CETA. Le texte fera son retour le 30 mai, à l’Assemblée, à 10 jours des européennes. Pas forcément de quoi arranger Emmanuel Macron.

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Accords de libre-échange : le devenir incertain du Ceta avec un gouvernement divisé sur la question
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Parlementaire

Rejet du CETA au Sénat : « Une opération montée par le PC et la gauche, avec le soutien des LR », dénonce Hervé Marseille

A l’issue du rejet du CETA par la Haute Assemblée, le président du groupe centriste au Sénat, Hervé Marseille, est revenu sur les incidents qui ont émaillé la séance, et le choix de son groupe, largement en faveur du traité, de quitter l’hémicycle avant le vote, ouvrant la voie à une crise ouverte au sein de la majorité sénatoriale. La raison ? Le choix de Bruno Retailleau, président du groupe LR, de brandir l’article 38 du règlement du Sénat, clôturant les débats, « sans discuter de quoique ce soit ».

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Accords de libre-échange : le devenir incertain du Ceta avec un gouvernement divisé sur la question
5min

International

Hostilité au CETA : « L’Europe est peut-être en train de sortir de l’histoire », alerte Jean-Pierre Raffarin

Jean-Pierre Raffarin se désole des ergotages de son ancienne famille politique, Les Républicains, à voter la ratification du CETA. L’ancien Premier ministre considère le libre-échange et les accords comme la seule façon pour la France et l’Europe de sortir du marasme économique, sans quoi le risque de déclassement pourrait devenir une réalité.

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