16h10 : « Rien n’est gagné ! »
"Rien n'est gagné" rappelle Emmanuel Macron
« Trois semaines de mobilisation acharnée » promet le candidat. « Trois semaines d’optimisme, d’espoir, d’envie, d’énergie (…) Rien n’est gagné ! »
« Nous avons maintenant le pouvoir de changer notre pays » conclut le candidat dans une grande effervescence.
16h03 : « La Méditerranée est devenue le tombeau de la nécessité »
« Ce que nous allons faire, c’est sortir du passé, sortir de la Francafrique, sortir de tout ce qui nous a tué » lance-t-il. « Nous allons refonder une route de la liberté car la Méditerranée est devenue le tombeau de la nécessité, elle est devenue notre honte. »
« C’est par nécessité qu’on quitte ces pays » affirme-t-il, rappelant le « devoir de chacun de respecter la République mais aussi d’en avoir les droits ».
15h57 : un nouveau projet européen
« Je ne veux plus laisser la critique de l’Europe aux anti-européens » explique-t-il, réclamant « un nouveau projet, une refondation plus ambitieuse » de l'Union européenne.
15h55 : contre la dette
Macron : « Protéger c’est aussi désendetter le pays »
« Protéger c’est aussi désendetter le pays » annonce Emmanuel Macron. « Je ne vais pas expliquer à mon pays qu’on peut vivre à crédit (…) Nous allons tous faire des efforts. » Il en a profité pour moquer François Fillon qui a annoncé des économies plus faibles qu’annoncées auparavant devant les maires de France.
15h50 : tolérance zéro sur la délinquance
Sur la plan de la sécurité, Emmanuel Macron annonce une « politique claire : tolérance zéro à l’égard de la délinquance » et « de toute dérive policière. »
15h45 : « N’ayons pas peur du changement. Décidons-le ! »
Emmanuel Macron : « N’ayons pas peur du changement. Décidons-le ! »
Face à la montée du numérique et de la destruction des emplois, Emmanuel Macron se veut rassurant. « N’ayons pas peur du changement. Décidons-le ! » Il évoque ainsi la formation continue, notamment pour les ouvriers. « Tous les autres projets sont des projets de la peur du lendemain. Nous allons faire le changement pour donner une place à chacun. »
15h37 : « Brigitte à l’Elysée » hurle un supporteur
« Ça, c’est vrai et c’est une bonne motivation » répond le candidat dans un sourire.
15h35 : « C’est par le travail que la vie se construit »
Emmanuel Macron : « C’est par le travail que la vie se construit »
« Nous faciliterons la création d’entreprises. Nous supprimerons le RSI pour les indépendants. Nous baisserons les charges pour les employeurs, nous simplifierons le droit du travail » liste-t-il, promettant plus de « flexibilité » car « c’est par le travail que la vie se construit. »
15h32 : Macron évoque la culture
Emmanuel Macron évoque son projet pour la culture
« La culture, c’est ce qui nous tient » précise-t-il, évoquant sa proposition de pass culture pour les jeunes. « Nous allons mener une politique pour la culture ambitieuse, en France et en Europe. »
15h20 : « la pauvreté, nous en sortirons par l’école »
A Marseille, le candidat a évoqué la pauvreté de nombreux Français. « Je ne suis pas pour le défaitisme. Nous ne nous laisserons pas faire. Nous nous en sortirons par l’école » avance-t-il. « Nous ramènerons le nombre d’élèves par classes à 12. Nous remettrons des études dirigées. Nous donnerons plus de temps aux enseignants.»
15h22 : « le temps du renouvellement véritable »
« Nous allons continuer à refonder la vie politique et le pays » annonce-t-il après avoir longuement critiqué les partis traditionnels. « Ce sera le temps du renouvellement véritable. »
15h17 : « Je ne suis l’héritier de rien »
Macron : "Je ne suis l’héritier de rien"
« Cela fait 20 ans que nous sommes bloqués par ce balancier permanent entre gauche et droite (…) je l’ai vu, je l’ai connu » explique-t-il. « Maintenant, ils m’attaquent en disant que je suis l’héritier et le traitre. D’abord, il faut choisir l’histoire qu’on veut raconter, je ne peux pas être les deux » s’amuse-t-il. « Je ne suis l’héritier de rien » souligne-t-il. « J’ai quitté le gouvernement pour prendre mes risques avec vous. »
15h10 : Coup pour coup
Emmanuel Macron critique le "clan" Fillon
Après avoir critiqué les attaques de Benoît Hamon, Emmanuel Macron a vertement critiqué le camp Fillon. « C’est un clan aux pratiques inacceptables (…) qui hier encore faisait siffler un représentant de la famille gaulliste. C’est pour cette raison que j’ai décidé de rencontrer Christian Estrosi, dans un geste Républicain (…) hier soir, ils ont montré le masque de la haine et de l’indignité. »
« Ils ont tourné le dos à la République pour embrasser Sens commun. Honte à eux ! »
15h : Charge contre le FN
Emmanuel Macron charge le FN
« Aujourd’hui nous sommes à trois semaines du premier tour de cette élection. Trois semaines, ce n’est rien. C’est ce temps décisif que nous devons gagner, heure après heure, jours après jours » annonce le candidat qui s’attaque directement au « parti de la haine, celui du mépris » visant évidemment le Front national. « Nous n’avons pas peur, nous ne jouons pas sur les peurs (…) le Front national, c’ets notre principal opposant. Sortez-les ! Nous allons les battre. »
14h56 : Emmanuel Macron vient d'arriver dans la salle
Son discours va pouvoir commencer.
14h55 : Macron/Estrosi : « une rencontre républicaine »
« Il existe des points de divergences entre Emmanuel Macron et Christian Estrosi » souligne à Public Sénat et LCP-AN le député Christophe Castaner, soutien du candidat d’En Marche, évoquant une simple « rencontre républicaine. »
14h50 : « Ce sera la troisième grande rupture politique depuis la deuxième guerre mondiale » assure Jean-Marie Cavada
Pour le député européen, soutien d’Emmanuel Macron, l’élection de son candidat « sera la troisième grande rupture politique depuis la deuxième guerre mondiale après 1945 et 1958. » L’ancien journaliste estime, par ailleurs, qu’Emmanuel Macron remportera largement les élections législatives qui suivront. « Les Français ne vont pas changer de cheval en un mois de temps ».
14h45 : Une démonstration de force
Après un meeting en demi-terne à la Réunion, Emmanuel Macron voulait faire de ce meeting à Marseille une démonstration de force, comparable à celui de Paris qui avait réuni 10 000 personnes. Le chiffre ne sera pas atteint à Marseille mais près de 6000 personnes sont attendues.
14h30 : Un candidat qui penche à gauche ?
Bienvenue sur ce direct, consacré au meeting d'Emmanuel Macron à Marseille. Le candidat d'En marche !, toujours très haut dans les sondages, a connu une semaine agitée avec le soutien de Manuel Valls. Soucieux de ne pas être catalogué comme l'avatar du gouvernment, Emmanuel Macron va tenter de se recentrer dans les paroles. Ce samedi matin, il a même été reçu par le sarkozyste Christian Estrosi, à la grande surprise des observateurs.