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« L’appel à l’aide de la culture » à la Une du Dauphiné Libéré, « Le monde de la culture en état d’urgence » à la Une du Courrier de l’Ouest. Le gouvernement doit annoncer aujourd’hui des mesures de soutien aux professionnels du secteur culturel, lourdement frappés par la crise.
Le Courrier de l’Ouest raconte le quotidien des intermittents du spectacle alors que les événements culturels sont à l’arrêt depuis 2 mois. On rappelle la règle, pour obtenir leurs indemnités chômage, les intermittents du spectacle doivent réaliser 507 heures d’activité. Et Anne-Claire Joubard, une jeune comédienne de 24 ans, l’explique, à cause de l’arrêt des théâtres, il lui manque une centaine d’heures pour renouveler ses droits au mois de mai. Une mission impossible.
L’un des enjeux du déconfinement, concerne la réouverture des écoles à partir du 11 mai. Un véritable chahut selon le journal Paris Normandie.
Alors Emmanuel Macron a tenté de rassurer hier en visitant une école des Yvelines en région parisienne. Le président a salué les communes qui faisaient des efforts pour rouvrir leurs écoles le 11 mai.
Mais en réalité c’est le grand désordre actuellement dans les établissements scolaires. Et en Normandie, la majorité des écoles ne rouvrira pas le 11 mai. Beaucoup de communes se sont montrées réticentes à ce calendrier. Dans une interview à Paris Normandie, le maire de Rouen Yvon Robert explique pourquoi il va reporter deux semaines l’ouverture des écoles de sa ville. Tout simplement car le protocole sanitaire n’a été communiqué que le 4 mai par le gouvernement. Et les acteurs scolaires ont besoin de temps pour se préparer.
Hier dans cette école de Poissy, Emmanuel Macron portait un masque, c’est la première fois qu’il portait un masque grand public en tissu. Et ce fameux masque avec le liseré bleu blanc rouge a été fabriqué dans l’Aube par la bonneterie Chanteclair, d’où une certaine fierté pour le textile aubois, c’est à lire dans l’Est Eclair.
Le 11 mai, les coiffeurs vont rouvrir, avec des mesures barrières strictes. Et cette réouverture vire à la prise de tête pour les salons de coiffures, c’est à la Une de l’Ardennais.
D’abord fini le petit café et la lecture des magazines à l’arrivée au salon de coiffure. Le client devra arriver seul et masqué, sans effet personnel. Il enfilera un peignoir à usage unique. Les bacs à shampoing seront séparés par des plaques de plexiglas. Alors le respect de la distanciation sociale entre un coiffeur et son client est impossible, mais le coiffeur sera protégé comme un professionnel de santé. Avec des gants, un masque et une visière. « On va ressembler à des vrais cosmonautes », s’amuse une coiffeuse de la région de Reims. Au final, la conséquence de toutes ces mesures pourrait être une augmentation des prix dans les salons.
On finit par une découverte que raconte La Dépêche du Midi. Une chercheuse toulousaine indépendante affirme que le colostrum des vaches, le premier lait, pourrait guérir certains malades du Covid-19. Ce premier lait doit être issu de vaches infectées par le virus, et il apporterait des anticorps aux humains pour les immuniser de manière plutôt efficace contre le virus. Cette découverte vient d’Algérie, de l’université de Constantine, et la chercheuse toulousaine Nassira Lachlak est chargée de son développement. Elle a écrit à Emmanuel Macron et au maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc pour les informer de cette piste de traitement.
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L’intégration dans le Code pénal de cette notion, développée dans les années 1970 pour décrire certains aspects des violences conjugales, a nourri de vifs débats au Sénat jeudi 3 avril. Les élus ont renoncé à la faire entrer strico-sensu dans la loi, mais ils s’en sont inspirés pour revoir la définition pénale du harcèlement sur conjoint.
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Pour que les populations soient préparées en cas de crise, la Commission européenne conseille aux citoyens d’avoir un « sac de résilience » avec tout ce qu’il faut pour tenir, en cas de catastrophe naturelle… ou de guerre. « Le but n’est pas de faire peur aux gens », soutient le sénateur LR Cédric Perrin, mais « d’anticiper les situations ». La France prépare un livret de survie, sur le modèle suédois.
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Pratiques religieuses dans les entreprises : une plus grande acceptation chez les jeunes salariés
Les faits religieux sont de plus en plus acceptés au sein des entreprises et en particulier chez les plus jeunes. C’est ce que révèle une enquête menée par Toluna-Harris Interactive. La sénatrice Hélène Conway-Mouret observe « une plus grande acceptation du religieux dans la vie en communauté ».
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Mannequin, animatrice de télévision et comédienne. Elle a médiatisé le combat de son second fils Samy, atteint d’autisme sévère, pour alerter sur le manque de prise en charge des enfants handicapés, mais aussi la solitude des mères et des parents. Malgré la disparition de son fils en 2023, elle a décidé de poursuivre le combat. Cette semaine, Rebecca Fitoussi reçoit Eglantine Eméyé dans « Un monde, un regard » sur Public Sénat.
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