Politique
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences publiques, Sylvain Waserman, président d’Ademe a défendu le budget et l’existence de son agence, faisant écho aux critiques faites par plusieurs politiques de droite.
Le
Par Camille Gasnier
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Les 26 et 27 mars, à l’invitation du gouvernement israélien, Jordan Bardella se rendra en Israël. Avec Marion Maréchal, il y est attendu pour assister à une conférence internationale sur la lutte contre l’antisémitisme. Thomas Ménagé estime que cette visite va permettre au président du Rassemblement national de porter la voix de son groupe, et plus largement celle de la France : « Dans le monde entier, le Rassemblement national est vu comme une alternative à Emmanuel Macron, , un interlocuteur avec qui il faut échanger sur la question de l’antisémitisme, Jordan Bardella ira indirectement porter la voix de la France ». Selon le député RN du Loiret, ce voyage « est un prémice » « de la solidarité » et du « travail en commun qu’il faudra mener si on arrive au pouvoir ».
Hier, sur RMC, Yonathan Arfi a accusé le Rassemblement national d’instrumentaliser la question de la lutte contre l’antisémitisme. Pour le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), « ce sujet est instrumentalisé pour mettre en scène un Rassemblement national nouveau dans une stratégie de conquête du pouvoir ». Il assure que la lutte contre l’antisémitisme « ne peut pas être instrumentalisée politiquement ». En réaction à cette attaque, Thomas Ménagé considère que « le président du CRIF fait de la politique, il ne représente pas, qu’il le veuille ou non, tous les Français de confession juive », en précisant que « les Français de confession juive nous voit comme un bouclier ».
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