Par Public Sénat
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Selon le gouvernement, la taxe GAFA (acronyme pour Google, Amazon, Facebook et Apple) adoptée cette semaine à l’Assemblée nationale incluant aussi Meetic, Airbnb ou encore le Français, Criteo pourrait rapporter 400 millions d'euros en 2019, puis 650 millions en 2020-2022.
Qualifiée de « clopinettes » par les élus de La France insoumise, Cédric O, secrétaire d’État au Numérique a répondu, ce jeudi, à l’issue des questions d’actualité au gouvernement. « C’est loin d’être négligeable et la vérité c’est qu’aujourd’hui c’est une estimation puisque ça reste un peu une boîte noire ce qu’on va trouver demain. Donc c’est loin d’être des clopinettes et surtout c’est un premier pas vers une solution internationale »
Cédric O « remarque » également que « Bruno Le Maire s’est beaucoup battu pour qu’on ait une solution au niveau européen et au niveau international ». « On a fini par avancer au niveau national pour des raisons de justice. Et quelques semaines plus tard, les États-Unis ont accepté de discuter d’ici 2020, 2021 pour discuter d’une solution systémique au niveau international ».
Politique
La majorité sénatoriale propose d’assouplir les objectifs de zéro artificialisation nette (ZAN) des sols, dans un texte examiné à partir de ce 12 mars. Si la ministre de la Transition écologique accepte de donner « un peu de souplesse » aux élus locaux dans l’application de la loi, elle s’oppose à tout abandon des objectifs chiffrés.
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Lors de son allocution, Emmanuel Macron a promis que la hausse des dépenses militaires se ferait sans augmentation d’impôts. « On ne peut pas demander aux Français de payer des chars avec leurs services publics et leurs retraites », dénonce la sénatrice écologiste Mélanie Vogel, qui demande une contribution des plus riches à l’effort de guerre.
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Défense : malgré une « nette amélioration », l’armée française reste « trop faible »
En raillant les forces françaises et anglaises, armées de « pays quelconques », le vice-président américain J.D. Vance a suscité les critiques. Mais au-delà de la polémique, l’armée française, constituée en temps de paix, reste limitée, malgré des efforts récents. « On a l’éventail des armées nécessaires, mais on n’a pas l’épaisseur et la profondeur », pointe le sénateur LR Christian Cambon.
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La ligne suivie par Donald Trump, qui se rapproche de Vladimir Poutine sur l’Ukraine, place le RN dans une situation ambiguë. Si le parti apprécie à la base le président américain, il commence à prendre quelques distances. « On sent bien que le sujet les embarrasse. Car il est impossible de donner raison sur toute la ligne à Donald Trump », selon Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite. « Ils ne sont pas à l’aise », résume le politologue Pascal Perrineau.
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