Sondage: sursaut de popularité pour Macron et Philippe

Sondage: sursaut de popularité pour Macron et Philippe

La popularité d'Emmanuel Macron augmente de 3 points en octobre par rapport à septembre, à 40% d'opinions favorables, et celle d...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

La popularité d'Emmanuel Macron augmente de 3 points en octobre par rapport à septembre, à 40% d'opinions favorables, et celle d'Edouard Philippe de 4 points, à 36%, selon un sondage Elabe pour Radio Classique et Les Echos publié dimanche.

Il s'agit de la première hausse de la cote de confiance du chef de l'Etat après une chute de 3 points en septembre et de 8 points depuis le début de son quinquennat.

Mais 54% des Français interrogés déclarent ne pas lui faire confiance pour affronter efficacement les problèmes du pays, dont 27% "pas du tout".

Dans le détail, il perd 8 points auprès de moins de 24 ans et 4 parmi les catégories populaires quand il engrange en revanche 7 points chez les plus de 65 ans et 5 points chez les 50-64 ans.

Le Premier ministre avait de son côté enregistré une baisse de 1 point entre juillet et septembre. Ils sont 50% à déclarer ne pas lui faire confiance, en baisse de 7 points sur un mois.

Par ailleurs, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot conserve la première place en termes d'image positive (47%, stable), devant Alain Juppé (42%, +4) et, plus loin derrière, Jean-Yves Le Drian (34%, stable) et Jean-Luc Mélenchon (28%, -3).

Sondage réalisé sur internet par Elabe les 3 et 4 octobre sur un échantillon de 1.001 personnes de 18 ans et plus représentatives de la population française selon la méthode des quotas.

Dans la même thématique

Banque d’images du Sénat – Wlad Simitch Capa Pictures
3min

Politique

Immigration : une mission du Sénat propose de dénoncer l’accord franco-algérien de 1968, les socialistes claquent la porte

Une mission d’information du Sénat, pilotée par la majorité de droite et du centre, propose de dénoncer l’accord franco-algérien de 1968. La sénatrice PS Corinne Narassiguin en a tiré les conséquences en décidant de quitter cette mission qu’elle qualifie « d’outil créé de toutes pièces pour valider la campagne de Bruno Retailleau ».

Le