Par Public Sénat
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Tout au long de la campagne présidentielle américaine, Donald Trump a promis pêle-mêle la construction d'un mur à la frontière mexicaine et la fin de l'accord de Paris sur le climat ou encore choqué par ses propos agressifs contre les minorités. A bien regarder les outrances racistes d'un Richard Nixon tenus dans l'intimité du bureau ovale ou l'élection surprise de l'ancien acteur de western Ronald Reagan, l'histoire récente des présidents républicains montre beaucoup d'analogie. Trump un candidat pas si nouveau ? L'Info dans le rétro pose la question à l'ancien diplomate Georges Ayache et à l'historien des Etats-Unis Paul Schor.
Les campagnes américaines sont connues pour être violentes, mais jamais un tel stade n'avait été atteint. Entre Hillary Clinton et Donald Trump, les attaques sont basses et répétées. L'argent, le sexisme et les mensonges sont au coeur du débat, au détriment des sujets de fond. Quelle est la cohérence et la stratégie des deux candidats ? Hillary Clinton fait-elle une bonne campagne ? Et le populisme de Trump est-il un avantage ? Pour répondre à ces questions et pour Déshabiller, en tout bien tout honneur deux candidats que tout oppose.
S'en prendre aux journalistes, parler franchement, casser les codes... Autant de marques de fabrique de Donald Trump, le riche et provocateur homme d'affaires désormais grand favori de la primaire républicaine américaine. Mais alors, comment expliquer que ses dérapages et violences verbales séduisent tant les Américains ? Quelles sont les recettes de communication de ce showman qui s'est fait connaitre du grand public grâce à des émissions de téléréalité? Et est-il si différent de ses challengers républicains, Ted Cruz, John Kasich et Marco Robio ? Pour répondre à ces questions et pour déshabiller, en tout bien tout honneur, celui dont on se demande s'il est un homme politique ou surtout un homme de télévision.
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Invité de la matinale de Public Sénat, le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud a livré sa vision de la situation budgétaire de la France. Le député des Landes se félicite de l’extension de l’impôt sur les hauts revenus et souhaite que les parlementaires aillent plus loin encore.
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Les sénateurs ont adopté une proposition de loi socialiste, soutenue par le gouvernement, qui vise à reporter l’organisation des élections en Nouvelle-Calédonie, « au plus tard le 30 novembre 2025 », précise le rapporteur LR, Philippe Bas. L’objectif est de laisser du temps afin « de trouver les voies d’un accord » entre les partis politiques calédoniens et le gouvernement. C’est la question du dégel du corps électoral qui avait entraîné des émeutes, plongeant l’île dans la crise.
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Interrogé par le sénateur socialiste Christophe Chaillou, le ministre de la Justice s’est dit rassuré concernant le budget de son ministère. À l’origine, celui-ci devait être amputé de 500 millions d’euros par rapport à la loi de programmation de la justice. « Nous n’en sommes plus là », assure Didier Migaud.
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Le gouvernement a annoncé geler la hausse prévue dans le budget de l’Aide médicale d’Etat (AME). Roger Karoutchi, sénateur LR des Hauts de Seine, félicite cette mesure mais demande une réflexion globale sur la transformation de l’aide médicale d’Etat en aide médicale d’urgence. Pour la prochaine loi immigration, l’ancien ministre préconise de reprendre les éléments du Sénat censurés par le Conseil constitutionnel en janvier 2024.
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