Par Lina Boudjeroudi
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Pauvreté en France : Interrogé sur l'annonce faite par la Ministre du Travail, Elisabeth Borne, sur la mise en place d'aides exceptionnelles pour les précaires, Alexis Corbière estime que les aides publiques ne sont pas à la hauteur pour lutter contre la pauvreté. Il considère que le gouvernement devrait s'affranchir des règles européennes pour lutter contre la « crise de la pauvreté », comme cela a été fait pour la crise du Covid. Selon lui, « la pauvreté est invisibilisée ». En faisant référence à la récente délocalisation des migrants de la Place de la République, dans la nuit du 23 novembre 2020, il dénonce une « chasse aux pauvres organisée par le gouvernement. »
Médias : « Je n'apprécie pas le style ricanant de @Qofficiel. Mais ils ont une totale liberté de faire leurs choses. Nous ne leur avons jamais interdit de faire quoi que ce soit ».
Migrants : « Je pense que Place de la République, des ordres ont été donnés pour que la place soit évacuée brutalement ».
Sécurité : « Le Gouvernement est le roi des formules et adopte un discours Orwellien ».
Destruction d’emplois : « Le monde d'après doit être celui où on évite que des surprofits soient réalisés par ceux qui détruisent des emplois ».
Annonce du Président de la République : « Je n'aime pas cette banalisation de l'hyperpersonnalisation du pouvoir. Nous sommes une démocratie ».
Politique
Après l’annonce de la nomination de François Bayrou à Matignon, les sénateurs LR du Sénat sont dans l’expectative. La participation de la droite au prochain gouvernement, dépendra de l’engagement du Premier ministre sur les priorités qu’il a fixé notamment sur la maîtrise de l’immigration et bien sûr du maintien en poste du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.
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Politique
François Bayrou à Matignon : « Il ne semble pas disposé à être un Premier ministre collaborateur »
Emmanuel Macron vient de nommer François Bayrou Premier ministre. Le président du MoDem devient ainsi le premier centriste de la Vème République à accéder à Matignon, il doit désormais composer son gouvernement et se protéger du risque de censure. Allié fidèle mais critique d’Emmanuel Macron, il devra réussir à parler aussi bien aux socialistes qu’à la droite. Analyse sur le plateau de Public Sénat.
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Politique
Après la nomination du président du Modem comme premier ministre, le PS ne ferme pas la porte à des compromis, tout en dénonçant un choix qui ne respecte pas le résultat des législatives. LFI brandit en revanche la menace d’une censure, confirmant les divergences des derniers jours. Entre les deux, les écologistes n’excluent plus non plus la censure, sauf si François Bayrou opère un changement de cap.
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Le président du MoDem a été désigné par Emmanuel Macron pour devenir Premier ministre, un peu plus d’une semaine après la censure du gouvernement de Michel Barnier. Public Sénat vous fait vivre en direct la passation de pouvoir entre le nouveau chef de gouvernement et son prédécesseur.
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