« Je ne suis pas contre, je pense que c'est une piste intéressante. Il faut le regarder ». Hier soir, le chef de l’État a ouvert la porte à une seconde journée non payée de solidarité pour financer la prise en charge des personnes âgées dépendantes.
La première avait été mise en place par Jean-Pierre Raffarin en 2003, après la canicule meurtrière qui avait frappé la France. D'abord organisée le lundi de Pentecôte, cette Journée de solidarité a été modifiée en 2008 pour proposer davantage de souplesse aux employeurs. Depuis sa mise en place, elle a rapporté plus de 30 milliards à l'État pour aider les personnes âgées et les handicapées.