L’Alliance centriste décide de rester “partenaire de la majorité”

L’Alliance centriste décide de rester “partenaire de la majorité”

L’Alliance centriste, ancienne composante de l'UDI regroupant 12 parlementaires, qui avait rallié Emmanuel Macron pendant la...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

L’Alliance centriste, ancienne composante de l'UDI regroupant 12 parlementaires, qui avait rallié Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle, a décidé samedi lors de son comité exécutif de rester "partenaire de la majorité", a-t-elle indiqué dans un communiqué.

"L'Alliance, soutien précoce d’Emmanuel Macron, a, lors de son Comité exécutif, décidé de se maintenir en qualité de parti politique partenaire de la majorité", écrit la formation présidée par Philippe Folliot, député du Tarn et membre du groupe la République en marche (REM) à l'Assemblée. M. Folliot n'avait pas été investi aux législatives par REM car il ne satisfaisait pas au critère de renouvellement, entamant son quatrième mandat.

Ce mouvement centriste "entend rassembler et œuvrer au succès du projet présidentiel, conforme à ses valeurs humanistes, libérales, sociales et européennes", selon ce communiqué cosigné par M. Folliot et le président d'honneur du parti, le député européen Jean Arthuis.

L'Alliance centriste réunit douze parlementaires, dont neuf sénateurs, deux députés et un député européen, d'après son site internet.

Elle était une des composantes de l'Union des démocrates et indépendants créée en 2012 par Jean-Louis Borloo, avec Les Centristes ex-Nouveau Centre, le Parti radical ou encore la Fed (Force européenne démocrate) de Jean-Christophe Lagarde, actuel président de l'UDI.

Dans la même thématique

France Politics
11min

Politique

Budget, assurance chômage, Nouvelle-Calédonie… Les dossiers chauds qui attendent Michel Barnier

Après deux mois de flottement, de nombreux dossiers se sont accumulés sur le bureau du Premier ministre. Tout juste nommé, Michel Barnier va devoir relancer plusieurs réformes, mises à l’arrêt avec la dissolution. Néanmoins, la constitution d’un budget reste le premier saut d’obstacles pour le nouveau chef de gouvernement et sa future équipe ministérielle.

Le

NATO Summit
6min

Politique

« Depuis les élections législatives, l’autorité d’Emmanuel Macron s’est affaiblie en Europe et sur la scène internationale »

Ce vendredi, Emmanuel Macron rencontre Olaf Scholz sur les bords du lac Léman, à Évian-les-Bains. Le chef de l’Etat et le chef du gouvernement allemand participent à la nouvelle édition des rencontres franco-allemandes, un rendez-vous devenu incontournable dans les relations entre les deux pays. Alors que les deux hommes sont affaiblis sur la scène intérieure à la suite de revers électoraux, la professeure d'histoire et de civilisation allemande à Sorbonne Université, Hélène Miard-Delacroix, dresse un état des lieux des relations entre Paris et Berlin.

Le

France Politics
5min

Politique

« Ce n’est pas un amateur de punchlines », Michel Barnier raconté par ses soutiens au Sénat

Le nouveau Premier ministre au CV long comme le bras a été le troisième homme de la dernière primaire interne à LR. A cette époque, peu de sénateurs croyaient en ses chances de victoire. Ses soutiens de l’époque expliquent pourquoi ils avaient fait de lui leur favori. Ils décrivent un homme taillé pour exercer le pouvoir, beaucoup moins pour le conquérir.

Le