Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne

Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne

Les élus ruraux veulent peser sur le terrain dans le mouvement des Gilets jaunes. Ils demandent au gouvernement, des réponses au sentiment d’abandon des territoires.  
Public Sénat

Par Public Sénat (Sujet de Sandra Cerqueira)

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Durant la deuxième semaine de décembre, les élus ruraux ont récolté les doléances des habitants. Partout les mêmes revendications : le pouvoir d’achat,  l’injustice fiscale et l’abandon des territoires. Souvent en première ligne face à la colère de leurs administrés, des maires ruraux ont lancé un appel dans le JDD, dimanche dernier.

Dans cette tribune, l’Association des maires ruraux de France appelle les Français « à se fédérer, à ne pas baisser les bras face à la cécité de beaucoup de nos dirigeants ».

Concernant les doléances récoltées, une synthèse sera présentée d’ici la fin de la semaine, au Premier ministre et aux présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat.

Dans la même thématique

Grogne sociale : les maires ruraux en première ligne
3min

Politique

François Bayrou annonce un « conclave » sur les retraites : « On aura besoin d'avoir des éclaircissements », avertit Mathieu Darnaud

Au micro de Public Sénat, Mathieu Darnaud, président du groupe LR au Sénat, indique attendre de la part du Premier ministre « des éclaircissements » sur les modalités de la réouverture du débat sur les retraites. L’élu salue, en revanche, certains engagements pris sur le prochain budget, notamment la réduction de l’effort initialement réclamé aux collectivités territoriales.

Le

SIPA_01192142_000015
6min

Politique

Discours de politique générale : qu’est-ce que « la banque de la démocratie » relancée par François Bayrou ?

Lors de son discours de politique générale, François Bayrou a annoncé vouloir créer une banque de la démocratie « pour que le financement de la vie politique ne dépende pas de banques privées ». Une proposition déjà formulée lors de son bref passage au ministère de la justice en 2017, mais enterrée lors du premier quinquennat d’Emmanuel Macron.

Le