Par Public Sénat (images : Nelson Getten et Pierre de Boissieu)
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A peine Edouard Philippe nommé premier ministre, Jean-Luc Mélenchon a réagi. Pour le leader de la France insoumise, il représente « le vieux monde, de retour sous des habits tout neufs et bien jeunes ». « La droite vient d'être annexée, (…) le PS a été déjà absorbé ,puisque ses élus et ses candidats par dizaine ont demandé l’investiture de Monsieur Macron » et « les électeurs du FN sont abandonnés, leurs chefs ont tous déserté » a lancé Jean-Luc Mélenchon.
« Dorénavant, en face de Monsieur Macron et pour le bien de notre démocratie, il reste une force cohérente, unie (…) c’est la France insoumise dont je suis le porte-parole. Elle dit aux Français « ne donnez pas les pleins pouvoirs à Emmanuel Macron et son premier ministre ». Une cohabitation est nécessaire » affirme l’ancien candidat de la présidentielle, qui ajoute : « Que chacun de vos bulletins de vote soit comme un balai pour les dégager tous… voilà ! »
Politique
Alors que les socialistes continuent de réclamer des engagements supplémentaires de la part de François Bayrou sur une éventuelle remise en chantier de la réforme des retraites, Hervé Marseille, le patron des sénateurs centristes, appelle à la fois les oppositions et le gouvernement à trouver des « compromis » au nom de la stabilité.
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Invitée de la matinale de Public Sénat, la ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, annonce qu’une proposition de loi sera examinée par l’Assemblée nationale pour inclure la notion de consentement dans la définition du viol.
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Réforme des retraites : « On donne la main à 100 % aux partenaires sociaux », assure Aurore Bergé
Invitée de la matinale de Public Sénat, la ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, est revenue sur l’ouverture de négociations sur la réforme des retraites. Alors que le parti socialiste menace toujours de voter la censure, le Premier ministre pourrait livrer des précisions durant sa déclaration de politique générale au Sénat.
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Malgré une avancée sur les retraites, avec un retour à la table des discussions avec les partenaires sociaux, « le compte n’y est pas » pour une bonne partie des socialistes, après le discours de politique générale de François Bayrou. Pourtant, « il y avait un accord » avec les ministres, confie le patron des sénateurs PS, Patrick Kanner. Mais le premier ministre s’est montré peu précis, voire maladroit, pour donner le change au PS.
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