Dimanche, Donald Trump a assuré dans une interview qu'il ne « blagu(ait) pas » quand il répète qu'il envisage de briguer un troisième mandat présidentiel. Interrogé sur un éventuel scénario dans lequel le vice-président JD Vance se présenterait à l'élection présidentielle et céderait ensuite sa place à Donald Trump, le président américain a répondu que c'était « une » méthode, ajoutant qu'il « y en avait d'autres ». Explications avec Lauric Henneton, spécialiste des Etats-Unis.
Le président américain Donald Trump presse de nouveau son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, de signer le contesté accord sur les minerais proposé par Washington ces derniers mois. « Je vois qu'il essaie de se retirer de l'accord sur les terres rares. Et s'il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes », a menacé dimanche le milliardaire à propos du dirigeant ukrainien. Mais le document, largement modifié par rapport à la version précédemment présentée, prévoit des conditions très défavorables à Kiev. Une marge de négociation existe-t-elle encore ? Réponse avec deux experts.
Donald Trump a annoncé une hausse des droits de douane mondiaux de 25 % sur les voitures importées aux Etats-Unis. Les constructeurs automobiles étrangers s’inquiètent des retombées économiques. Pour l’économiste David Cayla, la mesure risque d’être « préjudiciable à court terme » pour les Etats-Unis.
Maintien les sanctions contre la Russie, envoi d’une mission franco-britannique auprès de l’armée ukrainienne et déploiement d’une force de « réassurance »… A l’issue du sommet de Paris qui réunissait une trentaine de pays de l’Union européenne et de l’Otan alliés de l’Ukraine, Emmanuel Macron a présenté la « vision commune » et s’est dit prêt à un scénario de paix sans les Américains.
Lors de l’audition du ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, plusieurs élus ont relayé « l’appel à l’aide » des Etats baltes et de la Finlande, inquiets des velléités russes sur leur territoire. « Ayons cette réflexion sur le rôle des garanties de sécurité entre Européens », a abondé le ministre.
Emprisonné depuis novembre 2024 pour atteinte à l’intégrité du territoire algérien, l’écrivain franco-algérien a été officiellement condamné à une peine de cinq ans de prison et à une amende de 500.000 dinars algériens (environ 3.500 euros).